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Super Flumina

Liberae sunt enim nostrae cogitationes - Cícero (Mil. 29 - 79) . Um blog de Rui Oliveira superflumina@sapo.pt

Super Flumina

Liberae sunt enim nostrae cogitationes - Cícero (Mil. 29 - 79) . Um blog de Rui Oliveira superflumina@sapo.pt

Paquistão - potência nuclear

Muito interessante este artigo sobre a eventual responsabilidade do Paquistão na proliferação de armas nucleares.

Pelo que parece, e se for autêntico o catálogo feito em nome do laboratório de pesquisa nuclear A. G. Khan, o Paquistão foi apanhado com a boca na botija.

Vamos a ver no que dá isto.

Tolerância à saudita

Segundo este artigo as autoridades sauditas passaram o mês de Dezembro a confiscarem artigos relativos ao Natal e ao Fim de Ano, mas apenas em lojas que servissem cidadãos sauditas, obviamente com o fim de os proteger das contaminações estrangeiras.

Sem dúvida um exemplo de multiculturalismo ao modo árabe.

Meninos birrentos

Edgar Bronfman do World Jewish Congress e Cobi Benatoff do European Jewish Congress escreveram um artigo no Financial Times acusando a Comissão Europeia de anti-semitismo.

Hoje, soube pela JTA, que este facto levou Romano Prodi a adiar um seminário sobre anti-semitismo que se realizaria em Fevereiro.

Parece que a EU não gosta de ouvir verdades e actua como um menino mimado e birrento, amua quando lhe dizem coisas que não agrada.</a>

Lulices 3

A retaliação que o Brasil impôs aos turistas americanos que visitam o país dificilmente deixaria de ter repercussões. Desde já pela maneira apressada e não planeada como a medida foi implantada, que já obrigou a mudanças na sua aplicação no Rio de Janeiro, como se pode verificar aqui.

Era bom de ver que esta medida em nada beneficiaria o Brasil, sendo antes uma resolução masoquista de anti-americanismo retórico.

O Islão e a laicidade

A ler o artigo de Chahdorit Djavan intitulado La laïcité, garante de l'unité nationale no Le Figaro. Eis alguns excertos:

L'islam est une religion qui n'a pas encore intégré ni la laïcité, ni les droits de l'homme, ni l'égalité des sexes. La laïcité n'est pas simplement un espace neutre. Pas plus qu'elle n'est antireligieuse. Elle est avant tout une valeur républicaine qui transcende toute croyance religieuse et non religieuse.
(...)
La laïcité ne peut et ne doit s'adapter à aucune religion, car les dogmes d'aucune religion ne sont universels et seuls les droits de l'homme le sont.
(...)
Quant à l'islam, depuis sa naissance, il a été une religion conquérante et dominante. Ce n'est que depuis une cinquantaine d'années, à la suite de l'immigration, que l'islam se trouve en situation de religion minoritaire, dans les pays occidentaux. Dans les pays musulmans, comme l'expression «pays musulman» le sous-entend, ce sont hélas! toujours les dogmes islamiques qui régentent la vie sociale et politique. Mais le contexte historique n'est plus ce qu'il était pendant les premiers siècles de l'islam, l'époque où il était la religion de pays puissants. Depuis, l'islam est devenu la religion des pays pauvres ou technologiquement dépendants. Les missionnaires de l'islam, ceux qui rêvent d'organiser la mondialisation de l'islam politique, ont la nostalgie de cette époque glorieuse et perdue.
(...)
Mais l'islam, la benjamine des religions monothéiste, une religion qui dicte les menus détails de la vie sociale et quotidienne de ses fidèles, une religion qui reconnaît le prosélytisme comme le devoir de chaque musulman, une religion qui demande aux fidèles des deux autres religions de se convertir à l'islam, une religion qui condamne l'apostasie, une religion qui se veut politique, englobante et conquérante, est-elle compatible avec la laïcité?

Il y a aura des islamologues, des sociologues de l'islam, des mollahs pour répondre que oui, bien sûr, à condition que celle-ci s'adapte à l'islam, fasse un petit effort, un pas vers l'islam, que la laïcité fasse une place aux dogmes islamiques, à condition que la laïcité prenne conscience de l'existence de l'islam en France, que la laïcité reconnaisse la légitimité sacrée de l'islam et du Coran. Bref, à condition que la laïcité ne soit plus la laïcité, mais une laïcité islamique. Les intellectuels musulmans, quelle que soit leur position, leurs divergences, leurs interprétations du texte coranique, restent des adeptes du Coran. . Leur source d'inspiration est le Coran, leur référence reste le Coran, l'islam est une religion du livre, le livre unique, le livre sacré.

(...)
Tariq Ramadan est loin d'être seul. Les islamistes comme lui sont nombreux, en Iran, en Egypte, comme dans beaucoup d'autres pays musulmans et occidentaux. Pour les gens comme moi, qui ont grandi dans les pays des mollahs, le discours de Ramadan n'a rien de nouveau. Il ne fait que plagier ces maîtres sans toujours les citer. Et surtout il a su s'infiltrer à l'intérieur des institutions occidentales, mais, là non plus, il n'est pas le seul.
(...)
Aucune religion monothéiste n'est prédisposée à la laïcité. L'islam comme les autres n'aura point d'autre issue que de s'adapter à l'histoire.

Vale a pena ler o artigo todo.

Educação ainda e sempre

Hoje estou para aqui virado, mas ao ler o Público nas secção das Cartas ao director, não pude deixar de ler esta carta enviada por um professor de Braga sobre os novos programas para o ensino secundário.

Abandonei o ensino em 2001, mas, pelos vistos a situação não melhorou, bem pelo contrário...

Vale a pena ler e reflectir, efectivamente, sobre o que queremos que a escola faça.

Ainda a educação

Continuando com os assuntos da educação, e se tenho essa insistência é porque eu já fui professor do ensino secundário e tenho uma filha e vários sobrinhos no ensino básico, encontrei este artigo no The Telegraph, que considero muito interessante.

Basicamente, o artigo fala de uma professora primária francesa que, contrariando todos os "cientistas" da educação, tenta ensiar os seus alunos de um modo mais tradicional, tendo até relatado a sua experiência num livro Journal d'une institutrice clandestine.

Baseado na minha própria experiência como professor, embora de um nível diferente, senti o mal que fez uma educação pouco rigorosa e adversa ao trabalho nos estudantes que entram no ensino secundário. A ignorância que demonstravam da disciplina, Francês, era grosseira ao ponto de me pedirem para falar em português, pois nada compreendiam de francês (e estavam no nível 4). Na correcção dos exercícios escritos eu não sabia se havia de rir, se havia de chorar.

Por outro lado, é também interessante a posição desta professora francesa sobre o problema do véu islâmico: "They know perfectly well what they're doing," referindo-se aqueles que desafiam as regras. "If it's not the headscarf, it will be something else. Secularism will always be under attack from those who wish to evangelise in schools." Aqueles que pensam de que se trata apenas de um problema de liberdade religiosa esquecem-se permanentemente deste aspecto.

Vale a pena ler todo o artigo. 

A educação em debate

A ler, sem falta, o artigo de Alain-Gérard Slama no Le Figaro. Neste artigo, intitulado La société sans maîtres, o autor fala do problema da educação, falando dos falhanços na educação proporcionado pelas novas pedagogias (certamente, lá como cá, os "famosos" cientistas da Educação devem ter culpas no cartório). Eis um excerto:

C'est alors en effet que, sous prétexte d'adapter l'école aux masses, l'enfant a été mis en son centre. Une nouvelle pédagogie, inspirée de mythes très anciens, a cru nécessaire d'affirmer le «droit» de l'enfant à être lui-même et à parvenir, telle une fleur, au plein «épanouissement» de sa personnalité, dans une aimable complicité avec ses éducateurs. L'important, pensait-on, était la création d'une «communauté éducative» favorable à l'éclosion des qualités latentes. Dans ce but, on a voulu effacer les frontières entre l'élève et un adulte dont la principale vertu devait être l'«esprit d'enfance». Ce lissage des âges de la vie s'est accompagné d'un gommage de la rigueur des examens et d'un effacement progressif des anciens rites de passage.

Todos nós sabemos no que deu esta nova pedagogia. E o autor prossegue sobre as falhas nos tempos mais recentes, que originaram a subida dos comunitarismos, e onde, também, a discriminação positiva (verdadeiro oxímoro) não é poupada, pois tem tido resultados completamente opostos aqueles que pretendia obter (ver o caso dos EUA):

La Première Guerre mondiale, suivie de la grande crise et de la montée du communisme et des fascismes, a inversé le balancier dans le sens des fanatismes totalitaires. Depuis leur disparition totale, avec l'effondrement du bloc soviétique, il n'était pas interdit d'espérer que le mouvement s'inversât, et que la dynamique libératrice reprît son cours. La défaillance des responsables du système éducatif, enfermés dans leurs préjugés, n'a pas seulement fait rater l'occasion. Elle a abandonné le terrain aux nouveaux sectarismes, communautaristes et identitaires, qui ont pris le relais des totalitarismes d'hier en recyclant à leur profit le besoin quasi structurel d'autorité et de sacré superbement ignoré par la République.

Les responsables de l'école commencent à mesurer le coût de l'occasion manquée. Depuis le Haut Conseil à l'évaluation de l'école jusqu'à la commission Thélot, on admet que l'explosion des communautarismes, qui ne sont pas seulement musulmans, pèse sur le fonctionnement de l'institution scolaire et, par là même, de la démocratie. Davantage: les plus enclins hier à estimer que «le niveau monte» – ce qui était vrai en termes de reçus aux examens, mais non du point de vue de l'assimilation des connaissances de base – s'inquiètent de la dégradation de plus en plus visible des résultats depuis, précisément, une dizaine d'années. Les violences contre les maîtres, les mauvais traitements infligés aux plus faibles, en particulier aux filles, et les saccages matériels ne sont plus minimisés.


De façon plus encourageante encore, les intellectuels qui, comme Alain Touraine, voyaient naguère dans les mouvements sociaux communautaires et identitaires des manifestations de la modernité mettent désormais en garde contre les dérives qui font de ces mouvements des forces de régression. Que peut-on attendre de jeunes gens formés à la non-école du «touche pas à mon choix», «touche pas à mon identité», «touche pas à ma religion», sinon la soumission la plus complète au déterminisme de leurs appartenances et de leurs pulsions?

Dans le même esprit, ceux qui récemment encore vantaient les mérites des discriminations positives pour faciliter l'intégration sociale des candidats relevant de groupes sociaux marginalisés s'aperçoivent que, loin de favoriser cette intégration, ils ont encouragé la dépendance de ces candidats par rapport aux critères ethniques et religieux auxquels ces derniers ont dû leur promotion, au lieu de les en libérer. C'est ainsi que l'Essec a récemment préféré maintenir le principe de l'égalité de tous les candidats devant son concours d'entrée, tout en apportant un soutien à la préparation des élèves les plus mal lotis, plutôt que d'imiter le système d'examen à part mis en place à Sciences po en faveur des élèves des zones d'éducation prioritaire.

En ouvrant une brèche dans le principe de l'égalité de tous devant la règle, les discriminations positives favorisent la surenchère des rivalités communautaires et des demandes sociales. Elles réussissent la gageure de défaire la société tout en multipliant les contraintes et les normes. Les déceptions de l'expérience américaine, où le niveau baisse de façon lourde de conséquences pour l'avenir et où le «melting pot» se dégrade, sont là pour le prouver.

Nós sabemos que há gente que não gosta que se apontem os estes erros como origem de grande parte dos problemas da Educação e até quem se irrite com a expressão "filhos de Rosseau" (por exemplo, Augusto Santos Silva). Mas é preciso reformar a escola e por certo que essa reforma não se fará com as Ciências de Educação.

O julgamento de Saddam

A não perder este artigo de Mark Steyn explicando porque é que Saddam não deve ter um julgamento internacional.

Não poderia estar mais de acordo. Os defensores da solução de tribunal internacional estariam, na maioria dos casos, mais interessados em denegrir os EUA do que em julgar, verdadeiramente, Saddam.

Os direitos humanos na Autoridade Palestiniana

Não sei o que dirão os deputados bloquistas que usaram o lenço palestiniano na Assembleia da República a esta história.

Os nossos bloquistas são os grandes defensores dos direitos da comunidade LGBT em Portugal, mas apoiam, acriticamente, um proto-estado que considera a homossexualidade como um crime.

Como muito bem diz o American Thinker, sítio onde encontrei a notícia, dificilmente esta minoria encontrará advogados na chamada comunidade internacional, pois isso iria chatear os queridinhos dos defensores dos oprimidos, isto é, Arafat e sus muchachos.

Ainda se queixam os homossexuais ocidentais de discriminação... Se vivessem na Palestina estavam bem tramados.



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